Vue subjective sur un décor qui défile le long de la fenêtre d’un train, les paupières d’Aurore sont lourdes, elle finit par s’endormir. Elle se réveille dans un monde déconstruit, dans la peau d’un être à la peau bleue, parsemée de motifs blancs.
Vue subjective sur un décor qui défile le long de la fenêtre d’un train, les paupières d’Aurore sont lourdes, elle finit par s’endormir. Elle se réveille dans un monde déconstruit, dans la peau d’un être à la peau bleue, parsemée de motifs blancs.